SiDieu n'existe pas, c'est Ă  dĂ©sespĂ©rer de Lui. Le moine ne bouffait plus de religieuses depuis qu'il avait du diabĂšte. Les cinq Juifs qui ont changĂ© . le cours de l’histoire: MoĂŻse. Tout est Dieu. JĂ©sus. Tout est amour. Marx. Tout est argent. Freud. Tout est sexe. Einstein. Tout est relatif . Voir PensĂ©es & humour . La pensĂ©e de Dieu . Je suis allĂ© plusieurs fois dans l’espace Pour Pascal, on a Ă  penser que Dieu existe non pas parce que c’est vrai que Dieu existe, parce que c’est une vĂ©ritĂ© et qu’il faut l’admettre () Nous avons Ă  nous prĂ©occuper du problĂšme de l’existence de Dieu parce que nous sommes mortels, que nous ne pouvons pas Ă©chapper au problĂšme du sens de notre vie", expliquait-il. "L'autre Pascal", dans Les Chemins pourmoi le hazard si il exitait serait une force qui serait superieur a celle de Dieu, car cette force interfererait dans le programme de Dieu, donc Dieu serait victime de cela. Le Ledestin se manifeste tout le temps, Il suffit d'ĂȘtre un peu intĂ©ressĂ© par le sujet. On ne manipule pas le destin, il s'impose comme une Ă©vidence. Dans de toutes petites choses, apparement trĂšs anodines, tenez, hier, je ne savais pas trop de quoi parler. Alors, j'ai rĂąlĂ© sur mes rĂšgles.. apparemment pas grand chose, n'est-ce pas? Maiscomme chacun sait, pas plus Dieu que le hasard n’existent, et c’est bien lĂ  tout le problĂšme. C’est un mirage de croire que les choses se font toutes seules. Que ce soit en amour, professionnellement, que ça concerne nos loisirs, nos relations, nos voyages rien n’est le fruit du hasard. Le facteur « chance » n’est qu’un Laffirmation: « Dieu existe et Il a créé toute chose » est mathĂ©matiquement aussi exacte que de dire que 1+1=2, Ă  travers les innombrables preuves entre nos mains, notamment celles que nous procurent les derniĂšres avancĂ©es scientifiques, il a Ă©tĂ© prouvĂ© que L'existence du crĂ©ateur, son omniscience et son omnipotence sont des faits . Un sacrĂ© permet d’imposer un absolu qui s’applique Ă  tous, nantis comme dĂ©munis, bien que dans ce dernier cas les intĂ©rĂȘts sont souvent opposĂ©s. OĂč le trouver ? Un ĂȘtre infini est souvent prĂ©sentĂ© comme capable des plus extraordinaires miracles transformer l’eau en vin, frapper des rochers pour obtenir de l’eau, ressusciter des morts, guĂ©rir un paralytique
 Ces exploits permettent Ă  n’en pas douter d’attirer Ă  soi de nombreux croyants. Mais le sacrĂ© est ailleurs c’est l’Amour qui est la valeur suprĂȘme et les aspects miraculeux ne sont lĂ  que pour impressionner les chalands. L’Amour place les autres aspects du quotidien au second rang, mais c’est malheureusement un idĂ©al difficile Ă  approcher mĂȘme au sein d’un couple, irrĂ©alisable Ă  l’échelle d’une sociĂ©tĂ©. L’existence de Dieu est questionnĂ©, pas son utilitĂ© dĂ©finir un Mal et un Bien permet de prendre des dĂ©cisions claires d’autant plus utiles qu’elles sont binaires. Il est difficile de vouloir remplacer l’Amour comme sacrĂ© indĂ©passable. Une devise comme LibertĂ©, ÉgalitĂ©, FraternitĂ© » comporte trois notions antagonistes prises isolĂ©ment. L’égalitĂ© empiĂšte forcĂ©ment sur la libertĂ© ; la fraternitĂ©, une forme dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e de l’amour, cohabite difficilement avec les deux autres. L’Amour englobe les trois volets et rend le tout encore plus inaccessible. Dieu-Amour Ă©tant supposĂ© mort, des autocrates tentĂšrent de le remplacer dans les esprits dans le mĂȘme objectif imposer la cohĂ©rence d’une multitude d’ĂȘtres uniques. Ils furent terrassĂ©s par les tenants d’une vertu Ă©mergente, la DĂ©mocratie. Le caractĂšre sacrĂ© d’une dĂ©mocratie se manifeste pour l’essentiel par la tenue d’élections dans lesquelles le peuple peut exprimer ses choix en nommant des reprĂ©sentants. En France, les Ă©lecteurs entre 25 et 34 ans, comme les ouvriers de tous Ăąges, s’abstinrent Ă  65% lors d’une votation rĂ©cente. Plus gĂ©nĂ©ralement, plus les revenus des Ă©lecteurs sont faibles, moins les gens se dĂ©placent pour voter. Aux USA, environ 100 millions d'AmĂ©ricains ont choisi de ne pas choisir en les deux candidats proposĂ©s, soit quasiment un Ă©lecteur sur deux. La sociologie des abstentionnistes est la mĂȘme qu’en France plus on baisse en Ăąge, en niveau de revenu, en niveau de diplĂŽme, plus on s'abstient. Au Japon, aux Ă©lections lĂ©gislatives, la participation n’a guĂšre concernĂ© qu’un Ă©lecteur sur deux. On retrouve lĂ  encore un fort dĂ©sintĂ©rĂȘt des jeunes pour les Ă©lections mais aussi une dĂ©fiance des Ă©lecteurs envers la politique. Le sacrĂ© n’existe que si l’on y croit, et Ă  cet Ă©gard les dĂ©mocraties Ă©lectorales, partout dans le monde, ne sont pas ou plus considĂ©rĂ©es comme sacrĂ©es et n’offrent donc plus ce cadre indĂ©passable que tous doivent respecter, les riches comme les pauvres, en particulier. La sĂ©cularisation de Dieu ne fonctionne pas les gens prĂ©fĂšrent leurs intĂ©rĂȘts Ă  l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Les pays les plus religieux ont gĂ©nĂ©ralement le plus petit revenu national Ghana, Nigeria, Roumanie, Kenya, Afghanistan
 Les moins religieux sont gĂ©nĂ©ralement les plus aisĂ©s, par exemple la France, le Japon, la SuĂšde, l'Allemagne ou les Pays-Bas. C’est la satiĂ©tĂ© qui tue le Dieu-Amour bien mieux que les philosophes, les libres penseurs, les idĂ©ologues ou les Hommes politiques. C’est cette mĂȘme satiĂ©tĂ© qui fait que la dĂ©mocratie s’évanouisse comme tout autre valeur collective dans les pays repus. Dieu n’est indispensable qu’à ceux qui n’ont rien car il leur fournit la seule chose dont ils ne peuvent pas se passer l’espoir d’un ailleurs sur terre ou autre part. Les dĂ©mocraties Ă©lectoralistes ne fournissent plus l’espoir que l’existence de chacun a un sens, une utilitĂ© quelconque. Les strates sociales nantis qui croient avoir compris que le paradis c’est maintenant et ici bas ne partagent pas grand-chose de matĂ©riel avec les plus dĂ©munis mais sont cependant de fervents gardiens des rites religieux qui incarnent l’autoritĂ©, leur autoritĂ©. La DĂ©claration universelle des droits de l'homme devrait servir de cadre moral Ă  toute action ou agissement. Elle ne fait appel Ă  aucune valeur transcendante mais constate que le mĂ©pris des droits de l'homme conduit Ă  des actes de barbarie qui rĂ©voltent la conscience de l'humanitĂ©. Par habiletĂ© plus que par conviction, tous ou presque adhĂ©rent verbalement Ă  ces principes quelques un les appliquent, certains autres les utilisent au contraire comme une arme de combat, mais personne n’y voit un impĂ©ratif absolu. Une civilisation sans sacrĂ© ne peut que mourir, non pas que le sacrĂ© indique la bonne direction mais parce qu’il indique une direction que personne ne conteste. Dieu, la RĂ©publique, la DĂ©mocratie, les Droits de l’Homme ne fascinent plus les foules en proie Ă  maints problĂšmes existentiels. L’Amour et ses succĂ©danĂ©s moins ambitieux n’étant plus de mise, il est nĂ©cessaire de convaincre autrement que par l’exemple pour obtenir un ordre qui doit ĂȘtre planĂ©taire. Des sacrifices s’imposent changements de mode de vie, rationnements des sociĂ©tĂ©s de consommation, transitions Ă©nergĂ©tique, Ă©conomique, sociĂ©tale sont Ă  l’ordre du jour. La rĂ©volution numĂ©rique comporte divers volets de hauteurs rĂ©volutionnaires inĂ©gales. Cependant, la possibilitĂ© de stocker et de traiter d’immenses bases de donnĂ©es recueillies Ă  chaque instant sur tout individu, tout groupe, toute entreprise au sein d’une sociĂ©tĂ© hautement connectĂ©e reprĂ©sente une avancĂ©e considĂ©rable pour Ă©tablir un rĂ©gime totalitaire idĂ©al et inĂ©dit par ses performances. Les mĂ©ga-donnĂ©es Big Data une fois traitĂ©es par des algorithmes adaptĂ©s fournissent des mines de renseignements sur la vie professionnelle, privĂ©e, intime, sur les opinions, les tendances, l’état de santĂ© d’un individu donnĂ© ou d’un groupe d’individus. Les possibilitĂ©s techniques actuelles permettent d’ores et dĂ©jĂ  d’aller plus loin et de prendre des dĂ©cisions sans intervention humaine. Une intelligence artificielle capable d’auto-apprentissage puisant dans une immense base de donnĂ©es tout ce qui lui est nĂ©cessaire pour dĂ©terminer un profil d’un homme, d’une famille, d’une communautĂ© lui permet de prendre toute dĂ©cision souhaitable le sacrĂ© est nĂ©, aussi inaccessible et beaucoup plus fiable que celui qui hantait les cieux avant lui. Le degrĂ© d’incomprĂ©hension des mĂ©thodes utilisĂ©es est tellement profond, les rĂ©sultats obtenus sont tellement Ă©tonnants qu’il est possible de parler de miracles l’algorithme devient surnaturel. La Raison ne permettant plus de trouver des solutions pour vivre dans le rĂ©el, il faudra vivre dans un monde virtuel forgĂ© par un ordinateur. Pour leur salut, tous et toutes s’en remettront au Dieu-Googol, celui qui rĂšgne sur les corps comme sur les 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 esprits. Le russeLe hasard n'existe pas simplement, nous ne sommes pas assez intelligents pour comprendre tous les liens de causalitĂ©Le hasard n’est qu’une illusion ; nous vivons dans un monde dĂ©terministe mais nous vivons aussi dans un monde infiniment complexe dans lequel, bien souvent, les liens de causalitĂ© nous NicoulaudGuillaume Nicoulaud est Ă©conomiste de formation et a travaillĂ© pendant 20 ans dans l’industrie financiĂšre. Aujourd’hui, il est Chief Executive Officer chez Loop Aix-Marseille, une start-up franco-suisse qui dĂ©veloppe la prochaine gĂ©nĂ©ration de systĂšmes de transport Ă  l’échelle mĂ©tropolitaine. Voir la bio »Le hasard n'existe pas simplement, nous ne sommes pas assez intelligents pour comprendre tous les liens de causalitĂ©avec Guillaume NicoulaudÀ la fin de son cours, un professeur lance un dĂ©fi Ă  ses Ă©tudiants ils doivent, pour la prochaine sĂ©ance, concevoir une fonction capable de gĂ©nĂ©rer dix nombres alĂ©atoires. En sortant de la salle de classe, la plupart des Ă©tudiants sont intimement persuadĂ©s de la trivialitĂ© de l’exercice ; en une demi-heure, se disent-ils, ce sera bouclĂ©. Ils rentrent chez eux, s’installent devant leur ordinateur et c’est lĂ  qu’ils commencent Ă  tĂąche qui consiste Ă  concevoir un gĂ©nĂ©rateur de nombres alĂ©atoires est aussi simple en apparence qu’elle est complexe en rĂ©alitĂ©. Comment crĂ©er le hasard ? Comment concevoir un algorithme – c’est-Ă -dire un systĂšme forcĂ©ment dĂ©terministe – qui gĂ©nĂšre un rĂ©sultat qui Ă©chappe Ă  toute explication dĂ©terministe ? Eh bien c’est impossible. Les esprits les plus brillants se sont frottĂ©s Ă  ce problĂšme et tous en ont conclu qu’il n’est tout simplement pas possible de crĂ©er un tel algorithme. Tous les gĂ©nĂ©rateurs de nombres alĂ©atoires [1] sont en rĂ©alitĂ© des gĂ©nĂ©rateurs de nombres pseudo-alĂ©atoires ; c’est-Ă -dire qu’ils simulent le hasard en crĂ©ant des sĂ©quences de nombres dont il est plus ou moins difficile d’identifier les propriĂ©tĂ©s maniĂšre de s’approcher au plus prĂšs de l’alĂ©a parfait consiste Ă  s’appuyer sur des phĂ©nomĂšnes physiques prĂ©sumĂ©s imprĂ©visibles [2] comme, par exemple, le lancer d’un dĂ©. Comme nous sommes, a priori, incapables de dĂ©terminer Ă  l’avance sur quelle face le dĂ© va tomber, nous considĂ©rons que la sĂ©quence de nombres de 1 Ă  6 qui rĂ©sultera de plusieurs lancers sera alĂ©atoire. Mais cela signifie-t-il qu’elle l’est vraiment ? Certainement pas elle est en rĂ©alitĂ© entiĂšrement dĂ©terminĂ©e par les lois de la physique. Avec un Ă©quipement adĂ©quat, nous pourrions prĂ©dire prĂ©cisĂ©ment le rĂ©sultat de chaque lancer ou faire en sorte que le dĂ© tombe Ă  chaque fois sur la mĂȘme face. Ce qui donne ici l’illusion de l’alĂ©a, c’est le fait que la main de celui qui lance le dĂ© n’est pas un instrument suffisamment prĂ©cis pour influer sciemment sur le rĂ©sultat. Du moins en gĂ©nĂ©rateurs prĂ©sumĂ©s les plus performants, plutĂŽt que des dĂ©s, utilisent aujourd’hui des phĂ©nomĂšnes quantiques. Il y a deux maniĂšres de justifier cela l’interprĂ©tation classique de la thĂ©orie quantique qui veut que ces phĂ©nomĂšnes sont vraiment alĂ©atoires le chat de Schrödinger Ă  la fois mort et vivant et celle selon laquelle les variables quantiques suivent des lois dĂ©terministes que nous ne connaissons pas le chat est dans un Ă©tat dĂ©terminĂ© mais nous ne savons pas lequel et nous ne savons pas pourquoi. Je suis, bien sĂ»r, parfaitement incompĂ©tent en la matiĂšre mais mon intuition me pousse Ă  suivre Einstein [3] Dieu ne joue pas aux dĂ©s dans l’Univers, il y a lĂ  derriĂšre quelque chose qui nous Ă©chappe encore ; Feyman lui-mĂȘme ne disait-il pas que "personne ne comprend vraiment la physique quantique" ?Quoiqu’il en soit, et dans l’état actuel de nos connaissances en dehors du domaine quantique, l’alĂ©a n’existe pas. C’est un abus de langage, un concept pratique qui nous permet de dĂ©signer le produit de chaĂźnes de causalitĂ© trop complexes pour que nous puissions en comprendre le caractĂšre dĂ©terministe. Le hasard n’est qu’une illusion ; nous vivons dans un monde dĂ©terministe mais nous vivons aussi dans un monde infiniment complexe dans lequel, bien souvent, les liens de causalitĂ© nous Re Sondage, est-ce que le hasard existe ? Bonsoir, Permettez-moi de signaler ici l'ouvrage de Thierry MARTIN ProbabilitĂ©s et critique philosophique selon Cournot, Vrin MathĂ©sis 1996, Ă©ditĂ© avec le concours du CNRS. Ce livre a pour objet principal "De bien faire comprendre la valeur philosophique des idĂ©es de chance, de hasard, de probabilitĂ©s, et le vrai sens dans lequel il faut entendre les rĂ©sultats des calculs auxquels on est conduit par le dĂ©veloppement de ces notions fondamentales." VoilĂ  ce qu'Ă©crivait MARTIN au tout dĂ©but 1Ăšre page "Lorsqu'on mesure la probabilitĂ© d'un Ă©vĂ©nement, veut-on affirmer qu'il possĂšde effectivement telle chance de se produire ou bien que, dans l'ignorance oĂč nous sommes des conditions exactes de sa production, c'est par un jugement probable que nous prĂ©voyons son existence ? Autrement dit, les rĂšgles du calcul des probabilitĂ©s s'appliquent-elles directement aux objets pris en eux-mĂȘmes ou seulement Ă  la reprĂ©sentation que nous en avons ? La probabilitĂ© s'applique-t-elle aux choses ou aux jugements que nous portons sur les choses ? Si l'on rĂ©pond que la probabilitĂ© peut mesurer effectivement la chance d'un Ă©vĂ©nement, on pose alors son existence comme probable, et l'on reconnaĂźt par-lĂ  que le rĂ©el laisse une place Ă  des Ă©vĂ©nements en eux-mĂȘmes fortuits. Et dans ce cas on doit admettre que le hasard n'est pas seulement le produit de notre ignorance, mais qu'il jouit d'une existence objective." Ce qui me permets au passage de rectifier une erreur que j'ai commise ce n'est pas Ă  la tuile de Carnot, mais Ă  celle de COURNOT que je faisais allusion. Pour moi je reste sur ma position l'indĂ©terminisme foncier n'existe pas. En tous cas mĂȘme s'il existait on ne pourrait pas le connaĂźtre. Un hasard essentiel pourrait assez bien se dĂ©finir comme "Un Ă©vĂ©nement qui ne rĂ©pond Ă  aucune loi connue ou inconnue.", c'Ă©tait la dĂ©finition par Malebranche du miracle ! Et alors toute chose ici-bas serait un miracle permanent ? Hum ! DerniĂšre modification par criticus ; 20/01/2005 Ă  20h10. "Inventer, c'est penser Ă  cĂŽtĂ©." Einstein.

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