Lemouvement " Pas de bébés à la consigne" réclame entre autre "l’abandon des regroupements d’assistantes maternelles qui constitue le sommet de la déréglementation avec l’absence de tout encadrement et le maintien des contrats de gré à gré avec les parents employeurs". Pourquoi ne pas réclamer un meileur encadrement et une loi spécifique à ce Avec« pas de bébés à la consigne », nous exigeons un Plan d’urgence pour un accueil de qualité en faveur de la petite enfance : 1 - création massive de nouvelles structures Pasde bébés à la consigne ! Les auxiliaires de puériculture se sont retrouvées sur la place des Fontaine et ont ensuite rencontré Mme Costes, Secrétaire Générale de la Préfecture. Photo Jeudi6 mai, la crèche Les Pitchous, de Salles-sur-l'Hers était en grève et défilait dans les rues de Toulouse, pour suivre le mouvement national « Pas de bébé à la consigne », Veniravec pique-nique et des boites à chaussure pour confection de boite à consigne géante. Nîmes : Le collectif 30 ’pas de bébés à la consigne’ réunissant CGT, Solidaires, . Publié le 24/03/2010 à 1054 Les slogans étaient recherchés, comme cela est souvent le cas lorsque le sort des enfants est en jeu. Ni sardines, ni à la consigne, les bébés garderont bonne mine ! », expliquent avec le sourire les membres du collectif animé par des acteurs de la petite enfance. Le collectif Pas de bébés à la consigne ! » parents et professionnels s'était fortement mobilisé pour la journée d'action du jeudi 11 mars avec un grand nombre d'établissements dans l'action. Hier, la crèche d'Agen était fermée ; du personnel de crèches associatives s'était déplacé à la manifestation. Nous voulons préserver la qualité de l'accueil des tout-petits », commente Karol Dubois, secrétaire du syndicat des territoriaux de la CGT, une des composantes du collectif. En cause, le retrait du décret contesté. Décret décrié A Agen hier, une délégation a été reçue par le directeur de cabinet du maire d'Agen, Jean Dionis du Séjour. Une motion lui fut remise à défaut de rencontrer le député-maire ».Personnels et parents refusent les dégradations annoncées par le gouvernement sur la qualité des modes d'accueil des jeunes enfants ». Le collectif réclame également l'ouverture de négociations sur l'accueil des petits. Sans réponse favorable, le principe d'une journée nationale est décidé pour le jeudi 8 avril. vendredi 10 avril 2009 popularité 10% La volonté des Pouvoirs Publics de développer l’offre d’accueil du jeune enfant avec la création de 200 000 places d’accueil d’ici à 2012 est légitime. Mais les propositions de modification du décret du 20 février 2007, relatif aux établissements et services d’accueil, si elles sont maintenues, s’orientent vers une dégradation de la qualité d’accueil du jeune enfant. Suite à la manifestation de notre opposition aux mesures envisagées, le gouvernement vient d’annoncer le 2 avril 2009, par la voix du directeur de cabinet de Madame Morano, secrétaire d’Etat à la famille, que les taux d’encadrement des enfants dans les établissements et services d’accueil ne seraient pas modifiés un adulte pour 5 bébés et un adulte pour 8 enfants qui marchent. Cependant d’autres dispositions pourraient être prises Diminution de la qualification du personnel la proportion des professionnels les plus qualifiés éducateurs de jeunes enfants, puéricultrices et auxiliaires de puériculture serait revue à la baisse. Projet de jardin d’éveil confirmé mais demeurant extrêmement vague, sauf pour le taux d’encadrement des enfants qui serait également réduit un adulte pour 12 enfants de 2 à 3 ans au lieu d’un adulte pour 8 enfants aujourd’hui. Augmentation des capacités d’accueil en surnombre portées à 20% au lieu de 10% actuellement. Pourtant, les connaissances sur le développement du jeune enfant ... Lire le texte complet de la pétition et la signer en ligne Site de la pétition l'essentiel Comme un peu partout en France, les professionnelles de la petite enfance étaient dans la rue, ce mardi 30 mars, pour s’opposer à la réforme de l’accueil du jeune enfant. Pas de bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début d’après-midi, dans les rues de Carcassonne. L’objet de leur mécontentement l’article 99 de la loi d’Accélération et de simplification de l’action publique Asap sur la réforme de l’accueil des jeunes enfants. Une loi portée par Adrien Taquet, secrétaire d’État en charge de l’Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, publiée le 8 décembre dernier et dont le décret d’application est prévu pour septembre. "Cette réforme compile tout un tas de petites choses qui nivellent l’accueil des plus petits par le bas", certifie Delphine Le Douarec, représentante de la Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants Fneje. Parmi elles, la réduction du nombre de mètres carrés dévolu à chaque bébé les normes actuelles sont fixées à 7 m2 et devraient passer à 5 m2. "Cette disposition est clairement faite pour Paris où le manque de locaux est flagrant. Mais, ici ! De fait, quand un gestionnaire va vouloir construire une crèche, il va s’orienter vers des bâtiments plus petits… qui lui reviendront moins cher. Et le bien-être des enfants, on en fait quoi ?", peste Marie-Josée Albérola, responsable de crèche à Narbonne. De même, la baisse de qualification on pourra diriger une crèche sans expérience ; un apprenti sera compté dans les taux horaires ou l’augmentation du nombre de bébés par encadrant de cinq pour un on passerait à six pour un inquiètent les manifestantes "Et pour les sorties ? Aujourd’hui, c’est un adulte pour deux enfants logique, on n’a que deux mains. Mais à l’avenir, ce sera jusqu’à un pour cinq ! Comment va-t-on faire, sachant qu’un enfant qui marche, il faut lui tenir la main, sinon, il s’échappe ? Pareil pour l’ouverture et la fermeture des structures nous sommes systématiquement deux, ce sera un à partir de septembre", souligne encore Delphine Le compensationEn guise de compensation, l’article 99 de la loi Asap prévoit d’accorder une demi-heure d’analyse de pratique par personne et par mois "Mais nous l’avons déjà mis en pratique dans beaucoup de structures et sur un volant d’heures plus large. Parce qu’on fait de plus en plus de soutien à la parentalité ou d’accompagnement d’enfants en difficultés. À Narbonne, par exemple, l’analyse des pratiques, c’est trois heures par mois. Notre métier a beaucoup évolué ces dernières années", précise Marie Josée les professionnelles de la petite enfance, toutes les mesures engagées visent à "créer des places de crèches sans donner de moyens, au contraire". Voilà pourquoi environ 80 d’entre elles ont battu le pavé ce mardi après-midi "Ce qui peut paraître peu mais on ne veut pas, non plus, pénaliser les enfants et les parents des sections ont fermé mais les autres sont restées ouvertes avec des personnels montrant clairement sur un brassard leur opposition à cette loi", conclut Delphine Le Douarec. Ce mardi 30 mars, un mouvement de grève national peut perturber l'accueil des tout-petits dans les crèches. Ce mardi 30 mars, un mouvement de grève national peut perturber l'accueil des tout-petits dans les crèches. PHOTO ARCHIVES PIERRE ROUANET LA VOIX DU NORD - VDNPQR Publié 30 Mars 2021 à 11h43 Temps de lecture 1 min Pas de bébé à la consigne ! ». C’est le mot d’ordre de ce mouvement de grève initié ce mardi en France dans les crèches, à l’appel de plusieurs syndicats CGT, CFDT, FSU, FO, Sud, et le Syndicat national des professionnels de la petite enfance, SNPPE. Les syndicats montent au créneau contre la réforme des modes d'accueil, initiée par le secrétaire d'État chargé de l'Enfance et des Familles, Adrien Taquet, et lancée depuis janvier. Cette réforme prévoit notamment de réduire le taux d'encadrement des professionnels, en passant d’un professionnel pour six enfants au lieu de cinq enfants qui ne marchent pas, ou huit enfants qui marchent, précise Le Figaro. Le texte doit entrer en vigueur à la rentrée de septembre. Augmenter le nombre de places Cette réforme doit permettre d’augmenter le nombre de place en crèches. Mais toutes les recherches montrent qu’il faudrait une adulte pour cinq bébés, voire une pour quatre », s’était déjà indignée Birgit Hilpert, porte-parole du collectif Pas de bébé à la consigne » auprès de 20 Minutes. Le gouvernement va à l’encontre des recommandations des spécialistes de la petite enfance », ajoute-t-elle. Lire aussi Climat Élisabeth Borne débloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivités Inflation la hausse des tarifs de l’électricité en 2023 sera contenue», promet Bruno Le Maire Harcèlement victime, témoin, prévention, témoignage... ce qu’il faut savoir avant la rentrée Poursuivez votre lecture sur ces sujets Grève Syndicats Enfants France Confédération générale du travail A lire aussi Climat Élisabeth Borne débloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivités Inflation la hausse des tarifs de l’électricité en 2023 sera contenue», promet Bruno Le Maire Harcèlement victime, témoin, prévention, témoignage... ce qu’il faut savoir avant la rentrée Je suis fiancée à mon prince charmant marocain» la Nordiste Iris Mittenaere va se marier Tuerie de Chevaline dix ans après, le quadruple meurtre toujours aussi mystérieux Incendies en Gironde voici pourquoi le vin risque d’avoir un goût désagréable» Voir plus d'articles De nombreuses crèches seront en grève demain jeudi 11 mars 2010. Une journée nationale d'action et de grève est lancée par le collectif "pas de bébé à la consigne" pour exiger un véritable plan d'urgence pour un accueil de qualité de la petite enfance. Voici les revendications de ce collectif ======================================== "Les tout-petits ont besoin de beaucoup d'attention pour grandir tranquillement, expérimenter le monde, pour devenir des adultes autonomes et épanouis. Nous craignons de ne plus pouvoir disposer demain de la meilleure disponibilité pour vos enfants et de ne plus répondre à votre attente. En effet des projets gouvernementaux inquiétants, concernant les crèches notamment, se profilent. Déjà il est imposé aux établissements de 60 berceaux d'accueillir 66 enfants dans les mêmes locaux, certains jours de la semaine. Demain ce chiffre sera porté à 72, avec les mêmes contraintes horaires et pas plus de moyens matériels ni de personnels. Augmenter le nombre de places en crèche est indispensable mais pas dans n'importe quelles conditions, pas n'importe comment et pas au détriment de la qualité de l'accueil des enfants présents. Parallèlement il est prévu moins de personnes diplômées1 auprès des enfants les professionnels les plus qualifiés passeraient de 50% à 40% de l'effectif. D'autres mesures en cours d'adoption ne garantissent déjà plus la qualité de l'accueil individuel ou collectif les nouveaux jardins d'éveil » pourront accueillir des enfants de 2 à 3 ans avec un adulte s'occupant de 12 enfants voire plus, alors que ce taux est aujourd'hui d'un adulte pour 8 enfants du même âge en crèche ; les assistantes maternelles agréées peuvent désormais s'occuper de 4 enfants au lieu de 3, et leur temps de formation initiale va être réduit de 60 à 30 heures. Il est clair que ces mesures remettent en cause la qualité de l'accueil. Nous voulons continuer à - accueillir l'enfant et ses parents avec attention et respect, - prendre le temps d'une relation individualisée avec l'enfant, - avoir une équipe formée disposant des compétences appropriées soin, éducation, éveil, sécurité affective, alimentation, hygiène, etc., sous la responsabilité d'une personne qualifiée et d'expérience, - organiser les réunions indispensables à la réflexion sur le travail de l'équipe, - répondre aux besoins spécifiques des enfants et de leurs parents rencontrant des situations particulières handicap, difficultés sociales, psychologiques ou économiques, horaires atypiques, ... Les financements actuels sont largement insuffisants pour couvrir tous les besoins. Les mesures prises et en prévision ne répondent qu'à une logique d'économies proposer plus de places en rognant sur l'existant. Le gouvernement a décidé par ailleurs d'inclure les modes d'accueil de la petite enfance dans le champ de la directive Services » ex-Bolkenstein. A terme les modes d'accueil seront mis en concurrence au profit du secteur marchand et les subventions publiques aux établissements risquent d'être supprimées. Les 200 000 places d'accueil annoncées par le gouvernement ont bien peu de chances de voir le jour ! C'est ensemble que nous sauvegarderons la qualité d'accueil des enfants, leur éveil, leur sécurité physique et affective. Nous vous appelons à participer avec nous à la journée nationale d'action et de grève du jeudi 11 mars pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif et pour exiger un véritable plan d'urgence pour un accueil de qualité de la petite enfance. Nous vous proposons de signer en ce sens une carte-pétition à l'adresse de Madame N. Morano, secrétaire d'Etat à la famille. Collectif Pas de bébés à la consigne » Mars 2010" ==================================== Si votre crèche est en grève et que vous recherchez une solution pour garder vos enfants, consultez les annonces de garde d'enfant et babysitting sur aladom.

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