Leursrevendications sâinscrivent dans la lignĂ©e du travail de Phil Chan et Georgina Pazcoguin, soliste au New York City Ballet, qui Ćuvrent de concert depuis 2015 pour Ă©liminer ces caricatures racistes Ă travers leur organisation Final Bow for Yellowface. Ă ce jour, plus de 50 compagnies de danse internationales se sont ralliĂ©es Ă cette cause.
Ladanseuse et pédagogue Violette Verdy, interprÚte historique de George Balanchine (1904-1983), pendant dix-huit ans, de 1958 à 1976, au New York City Ballet, mais aussi directrice de
BenjaminMillepied, qui fut danseur Ă©toile au New York City Ballet, s'est attaquĂ© Ă une Ćuvre rĂ©putĂ©e complexe et nous montre Ă quel
Voicimaintenant plus dâun an que lâancien danseur Ă©toile du New York City Ballet mĂ»rit Bach Studies. Il lâa, dans un premier temps, chorĂ©graphiĂ© avec sa compagnie de Los Angeles. "Pour faire un travail de qualitĂ©, jâai besoin de temps, affirme-t-il.
Cest donc une Française de 33 ans, Fidji Simo, qui va désormais chapeauter les développements de l'application Facebook.La décision a été prise par Mark Zuckerberg en personne. Elle
CodycrossCirque Groupe 88 Grille 5 Une centrale à flamme est appelée centrale __ Etoile française du New York City Ballet Familier pour désigner un étatsunien Faire disparaßtre Phrase concise qui résume une vérité, un principe Fendiller un objet Se dit d'un homme pardonnant difficilement Poisson dont les oeufs composent le caviar
. AprĂšs huit ans d'absence, le New York City Ballet est de retour Ă Paris. La troupe donne trois semaines de spectacles au Théùtre du ChĂątelet du 28 juin au 16 juillet, invitĂ©e par Les ĂtĂ©s de la Danse. Le NYCB amĂšne dans ses bagages de trĂšs nombreux ballets de George Balanchine, aussi une toute nouvelle gĂ©nĂ©ration d'Ătoiles brillantes. L'occasion de se pencher un peu plus sur cette troupe emblĂ©matique de la danse amĂ©ricaine. Le New York City Ballet aux ĂtĂ©s de la Danse Diaporama - Retour sur la tournĂ©e du New York City Ballet aux ĂtĂ©s de la Danse Le New York City Ballet a achevĂ© ses trois semaines de reprĂ©sentations au Théùtre du ChĂątelet, dans le cadre des ĂtĂ©s de la Danse. Sur 20 reprĂ©sentations, la compagnie a proposĂ© cinq programmes diffĂ©rents ainsi qu'un gala, permettant de voir 20 ballets, dont 14 de George Balanchine. Retrouvez en images les meilleurs moments de ces reprĂ©sentations. Voir le diaporama Chronique - Le New York City Ballet aux ĂtĂ©s de la Danse, Wheeldon/Ratmansky/Peck Un programme de la tournĂ©e du New York City Ballet aux ĂtĂ©s de la Danse sans un seul ballet de George Balanchine ? Mais oui, c'est possible. La compagnie est en effet venue avec sa soirĂ©e ChorĂ©graphes du XXIe siĂšcle. Les trois chorĂ©graphes du programme, Christopher Wheeldon, AlexeĂŻ Ratmansky et Justin Peck, se placent dans la ligne de George Balanchine sans en dĂ©mordre une trentaine de minutes en scĂšne, une belle danse classique avec quelques accents plus modernes, un travail plus ou moins abstrait sur de la musique. Pour les deux derniers cependant, la surprise est bien lĂ . Que ce soit dans Pictures at an Exhibition ou Everywhere We Go, il rĂšgne sur scĂšne un parfum tout particulier, une Ă©mulation diffĂ©rente. Et un vrai plaisir de la danse. Lire la chronique du spectacle... Chronique - SoirĂ©e Balanchine/TchaĂŻkovski sĂ©culiĂšre par le New-York City Ballet aux ĂtĂ©s de la danse Quand le petit George Balanchine, alors Ă©lĂšve Ă l'Ecole impĂ©riale du ballet de Saint-PĂ©tersbourg, fit sa premiĂšre apparition sur la scĂšne du Théùtre Mariinsky, ce fut sur la musique de La Belle au bois dormant composĂ©e par TchaĂŻkovski. Avec ce souvenir fatidique, une relation intime indĂ©fectible se tissa entre le chorĂ©graphe d'origine gĂ©orgienne et le compositeur controversĂ©. C'est cet imaginaire intime que la soirĂ©e Balanchine/TchaĂŻkovski du New-York City Ballet a proposĂ© de mettre en scĂšne aux ĂtĂ©s de la danse. Mais d'osmose, il n'y en a eu qu'entre la musique et la danse. Du balai, le mysticisme d'Europe orientale. Lire la chronique du spectacle... Chronique - Le New York City Ballet aux ĂtĂ©s de la Danse, Balanchine en noir et blanc AcadĂ©mique, mais pas totalement. Abstraction, mais surtout une ouverture pour l'imaginaire. Le New York City Ballet dĂ©marre sa tournĂ©e parisienne, trois semaines au Théùtre du ChĂątelet aux ĂtĂ©s de la Danse, et la premiĂšre soirĂ©e a donnĂ© le ton George Balanchine dans toute sa splendeur. La troupe est affĂ»tĂ©e, d'une immense prĂ©cision, une extrĂȘme musicalitĂ© constante, montrant toute la complexitĂ© des chefs-d'oeuvres du maĂźtre amĂ©ricain. Une compagnie Ă l'unisson de son rĂ©pertoire, qui n'empĂȘche pas de nombreuses personnalitĂ©s d'Ă©merger du groupe. Le festin balanchinien peut commencer. Lire la chronique du spectacle... Rencontre avec Sara Mearns, Principal flamboyante du New York City Ballet En 2006, Sara Mearns a 19 ans et est encore dans le corps de ballet du New York City Ballet. Peter Martins la choisit nĂ©anmoins pour danser dans sa version du Lac des Cygnes. SuccĂšs immĂ©diat qui propulse sa carriĂšre et lui faire griller les Ă©tapes dans la hiĂ©rarchie de la compagnie. Deux ans plus tard, Sara Mearns est nommĂ©e Principal. Danseuse lyrique, passionnĂ©e, elle est la muse de tous les chorĂ©graphes qui viennent collaborer au NYCB. Ă Paris, elle danse dans pas moins de sept ballets de George Balanchine, mais aussi dans le Barber Violin Concerto de Peter Martins et dans le sublime Tableau d'une expositiond'AlexeĂŻ Ratmansky. Avant de s'envoler pour Paris et entre deux rĂ©pĂ©titions, Sara Mearns a confiĂ© Ă Danses avec la plume comment elle abordait cette nouvelle tournĂ©e parisienne. Lire l'interview... Walpurgisnacht Ballet - Sara Mearns Le New York City Ballet aux ĂtĂ©s de la Danse - Qui voir danser sur scĂšne Cette tournĂ©e parisienne du NYCB L'occasion de dĂ©couvrir une nouvelle gĂ©nĂ©ration d'Ătoiles brillantes. Quelles sont les "Principals" Ă©quivalent d'Ătoile incontournables du New York City Ballet ? Dans quel ballet les voir danser ? PrĂ©sentation des talents de la compagnie et petit point sur les distributions des ĂtĂ©s de la Danse. DĂ©couvrir les Ătoiles du NYCB... La technique Balanchine - DĂ©cryptage en cinq ballets George Balanchine est le fondateur du New York City Ballet. Il implanta le ballet aux Ătats-Unis, en mĂȘme temps qu'il inventa son propre style, solidaire de certaines spĂ©cificitĂ©s techniques. Ă tel point que parmi les Ă©coles de ballet, la "mĂ©thode Balanchine" occupe aujourd'hui une place Ă part entiĂšre, Ă cĂŽtĂ© des Ă©coles d'Agrippina Vaganova, d'Enrico Cecchetti, d'Auguste Bournonville... Le style de George Balanchine a trĂšs fortement marquĂ© la formation et la technique des Retour, en quelques ballets issus d'une oeuvre prolifique, sur ses principales particularitĂ©s techniques, visible dans la programmation du NYCB. DĂ©couvrir la technique Balanchine avec cinq ballets en vidĂ©o... Une courte histoire du New York City Ballet Quelle est l'histoire du NYCB, troupe si importante dans le monde de la danse ? Pourquoi George Balanchine est-il si important dans son histoire ? Quelles sont ses forces - et ses faiblesses - aujourd'hui ? Que reprĂ©sente la troupe ? Petit historique du New York City Ballet, emblĂ©matique de la danse amĂ©ricaine. DĂ©couvrir l'histoire du NYCB... Rebecca Krohn - SĂ©rĂ©nade Les ĂtĂ©s de la Danse 2016 - Programme du New York City Ballet Attention, Ă©vĂ©nement ! Le New York City Ballet est l'invitĂ© du festival Les ĂtĂ©s de la Danse 2016. La troupe amĂ©ricaine, qui n'Ă©tait pas venue Ă Paris depuis 2008, s'installe ainsi au Théùtre du ChĂątelet de Paris du 28 juin au 16 juillet, pour trois semaines de spectacles. Au programme beaucoup de George Balanchine, le maĂźtre de la danse classique amĂ©ricaine et fondateur du NYCB, et quelques oeuvres de la nouvelle gĂ©nĂ©ration de chorĂ©graphes nĂ©o-classiques. Une belle occasion de redĂ©couvrir le rĂ©pertoire amĂ©ricain, l'ADN du New York City Ballet. DĂ©couvrir tout le programme des ĂtĂ©s de la Danse... Le Songe dâune nuit dâĂ©tĂ© de George Balanchine par le New York City Ballet Câest une tradition pour le New York City Ballet achever sa saison de printemps par une sĂ©rie de reprĂ©sentations du Songe dâune nuit dâĂ©tĂ©, ballet de George Balanchine. Cette reprise 2016 ne pouvait tomber mieux alors que lâon cĂ©lĂšbre cette annĂ©e le 400Ăšme anniversaire de la mort de William Shakespeare, auteur de la comĂ©die qui a inspirĂ© le livret. George Balanchine a chorĂ©graphiĂ© ce ballet en 1962. LâidĂ©e Ă©tait dâen faire un pendant estival de sonCasse-Noisette. Il dĂ©cida donc dâaller puiser dans dâautres partitions du compositeur allemand pour construire un ballet narratif en 2 actes et 6 tableaux. Le succĂšs fut immĂ©diat et il ne se dĂ©ment pas aujourdâhui. Lire la chronique du spectacle... Nicolas Blanc, un chorĂ©graphe français au New York City Ballet Nicolas Blanc est le premier chorĂ©graphe français depuis Benjamin Millepied invitĂ© Ă crĂ©er une Ćuvre pour le New York City Ballet. Sa crĂ©ation Mothership, sur une musique du compositeur amĂ©ricain Mason Bates, a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois le 4 mai lors du prestigieux Gala de Printemps du NYCB, aux cĂŽtĂ©s de Christopher Wheeldon, AlexeĂŻ Ratmansky et Justin Peck. Rencontre entre deux rĂ©pĂ©titions avec ce chorĂ©graphe français qui fait carriĂšre aux Ătats-Unis. Lire l'interview de Nicolas Blanc... Symphony in C de George Balanchine The Most Incredible Thing, premier ballet narratif de Justin Peck pour le New York City Ballet Rien ne semble pouvoir freiner lâincroyable Ă©nergie de Justin Peck. DĂ©signĂ© en juillet 2014 chorĂ©graphe en rĂ©sidence du New York City Ballet oĂč il est toujours danseur soliste, il prĂ©sente cet hiver sa dixiĂšme crĂ©ation pour la compagnie The Most Incredible Thing, son tout premier ballet narratif avec 56 dont 11 enfants de la School of American Ballet, lâĂ©cole de danse du NYCB. Justin Peck a construit son ballet sur le conte de Hans-Christian Andersen The Most Incredible Thing. Il sâest entourĂ© du peintre et sculpteur canadien Marcel Dzama et a commandĂ© une partition au compositeur amĂ©ricain Bryce Dessner. Une affiche de luxe rassemblant trois artistes new-yorkais en vue pour une Ćuvre qui sâinscrit davantage dans la tradition des ballets russes de Diaghilev. Lire la chronique du spectacle...
Nicolas Blanc est le premier chorĂ©graphe français depuis Benjamin Millepied invitĂ© Ă crĂ©er une Ćuvre pour le New York City Ballet. Sa crĂ©ation Mothership, sur une musique du compositeur amĂ©ricain Mason Bates, a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois le 4 mai lors du prestigieux Gala de Printemps du NYCB, aux cĂŽtĂ©s de Christopher Wheeldon, AlexeĂŻ Ratmansky et Justin Peck. Rencontre entre deux rĂ©pĂ©titions avec ce chorĂ©graphe français qui fait carriĂšre aux Ătats-Unis. Nicolas Blanc en rĂ©pĂ©tition pour Mothership avec Mimi Staker et Christopher Grant Comment est arrivĂ©e cette proposition de crĂ©er une piĂšce pour le NYCB ? Jâavais Ă©tĂ© invitĂ© Ă lâautomne dernier au New York Choregraphic Institute des rencontres créées en 2000 au sein du NYCB destinĂ©es Ă promouvoir de nouveaux chorĂ©graphes et cela sâest trĂšs bien passĂ©. Le directeur du NYCB Peter Martins a vu la piĂšce et lâa beaucoup aimĂ©e. AprĂšs la deuxiĂšme reprĂ©sentation, il mâa proposĂ© de la reprendre pour la compagnie. CâĂ©tait vraiment une surprise totale, je ne mây attendais pas. Jâavais peu de temps Ă vrai dire, juste une semaine et demie, donc la piĂšce Mothership que je reprends est courte, juste 9 minutes et 21 secondes ! Câest comme un petit marathon. Comment avez-vous choisi vos ? Tous les chorĂ©graphes invitĂ©s par le New York choregraphic Institute sont allĂ©s voir une classe et jâai ainsi sĂ©lectionnĂ© un groupe. Ce sont des jeunes danseurs et danseuses, il y a mĂȘme 3 "apprentices" dans la distribution ndlr de trĂšs jeunes danseurs et danseuses qui nâont pas encore formellement intĂ©grĂ© la compagnie. Pour eux, câest aussi un grand pas en avant. Ils sont trĂšs verts et ils ont un enthousiasme qui fait plaisir Ă voir. Nous avions travaillĂ© Ă lâautomne dernier avec ce mĂȘme groupe et je suis revenu Ă New York avant la premiĂšre, pour retravailler certains passages dont je nâĂ©tais pas totalement satisfait. Quel type de chorĂ©graphe ĂȘtes-vous ? Avez-vous tout Ă©crit avant dâarriver en studio ? Je nâai pas tous les pas Ă©crits. Jâai peut-ĂȘtre deux phrases qui me permettent de dĂ©marrer. Ce qui est Ă©crit, câest la gĂ©ographie sur scĂšne. Mothership est une piĂšce pour quatre couples. Ce que je prĂ©vois dâavance, câest oĂč et comment ils bougent sur scĂšne et les diffĂ©rentes sections de la piĂšce savoir si câest un duo, un solo, un pas de trois, un ensemble. Et câest la musique qui mâindique cela. Si lâon parle du style, Ă©videmment, câest un registre nĂ©o-classique et jâai beaucoup Ă©tĂ© marquĂ© par mes expĂ©riences avec William Forsythe lâattaque de Forsythe, les dĂ©sĂ©quilibres, les dĂ©calĂ©s, les positions extrĂȘmes. Ce qui revient aussi chez moi, câest la recherche de fluiditĂ©. PrĂ©cisĂ©ment, le titre de votre piĂšce Mothership reprend celui de la partition Ă©crite par le musicien Mason Bates qui a Ă©crit cette suite symphonique, dans laquelle il inclut de la musique Ă©lectro-acoustique. Pourquoi lâavez-vous choisie ? Jâavais en tĂȘte de trouver une musique qui convienne Ă une piĂšce courte. CâĂ©tait ma cible. Je voulais une musique au tempo rapide parce que câest la marque de fabrique du New York City Ballet. Action ! Et puis jâavais lâambition de montrer dans ces neuf minutes ma capacitĂ© Ă chorĂ©graphier une piĂšce qui soit Ă la fois rapide et lyrique. Lâavantage de cette musique de Mason Bates, câest que les improvisations quâil a demandĂ©es Ă ses musiciens ont produit justement un passage plus lyrique qui mâa permis dâinclure le duo que jâavais en tĂȘte. Le but Ă©tait de pouvoir jouer sur ce double registre une chorĂ©graphie lente et rapide⊠en 9 minutes ! Et puis quand jâai Ă©coutĂ© la piĂšce, il y a eu comme un appel du pied, câĂ©tait pour moi une Ă©vidence. Nicolas Blanc avec Alston MacGill et Sebastian Villarini-Velez Que reprĂ©sente pour vous cette invitation au NYCB ? Câest un rĂȘve qui devient rĂ©alitĂ©. Lorsque jâĂ©tais en Europe, jâai toujours voulu comme danseur me confronter Ă lâĂ©cole de George Balanchine et câest dâailleurs une des motivations pour mon dĂ©part aux Ătats Unis. Cela devait ĂȘtre temporaire et en fait, je suis restĂ©. Et comment sâest opĂ©rĂ© votre parcours de danseur ? Jâai commencĂ© chez moi Ă Montauban avant dâaller suivre lâenseignement de lâAcadĂ©mie de Danse Classique de Monaco. Jâai suivi lâenseignement de lâĂcole de Danse de lâOpĂ©ra de Paris avec Claude Bessy aprĂšs le Prix de Lausanne. Dans ma carriĂšre de danseur, lâĂ©tape de Zurich a Ă©tĂ© dĂ©cisive Heinz Spoerli lâancien directeur du ballet de Zurich a eu un impact fort sur ma carriĂšre et sur ma danse. Puis ce fut le San Francisco Ballet oĂč je fus nommĂ© Principal en 2004. Jâai arrĂȘtĂ© de danser relativement tĂŽt, en 2009, Ă 32 ans parce que jâĂ©tais blessĂ© et jâai dĂ©cidĂ© de partir sur une note haute. Je ne voulais pas envisager des pĂ©riodes oĂč je danserais suivies de longues pauses Ă cause des blessures. Câest comme cela que jâai opĂ©rĂ© ma reconversion comme maĂźtre de ballet, tout dâabord au Scottish Ballet puis au Joffrey Ballet. Je ne pensais pas vraiment revenir aux Ătats-Unis, mais le directeur du Joffrey Ballet Ashley Wheater mâa fait cette proposition. Jâai donc repris ce poste Ă Chicago. Aviez-vous projetĂ© cette carriĂšre nomade qui vous a conduit en Allemagne, en Suisse puis aux Ătats-Unis ? Ce sont les rencontres qui ont dĂ©cidĂ© de ma carriĂšre. Enfant et jeune adolescent, je rĂȘvais de lâOpĂ©ra de Paris. Mais quand jâai voulu postuler, jâĂ©tais bien en dessous de la taille minimum exigĂ©e. Donc je nâai mĂȘme pas essayĂ©. Mais jâai eu la chance dâintĂ©grer la premiĂšre division de lâĂcole de Danse aprĂšs le Prix de Lausanne en 1994. Et câest quelque chose que je voulais faire car jâai senti que je regretterais toute ma vie de ne pas avoir essayĂ©. Uns fois que je suis parti de lâOpĂ©ra de Paris, je me suis vite rendu compte que lâon pouvait faire carriĂšre ailleurs et danser des rĂŽles trĂšs intĂ©ressants. Jâai toujours eu besoin et envie dâĂ©largir mon univers artistique. Que retenez-vous de votre carriĂšre au San Francisco Ballet ? Je crois que câest tout dâabord la diversitĂ© et la multitude des rĂŽles que jâai pu danser du ballet acadĂ©mique aux chorĂ©graphes contemporains en passant bien sĂ»r par George Balanchine. Cela mâa ouvert les yeux et formĂ© mon esprit critique. En tant que danseur europĂ©en, je trouvais que le rĂ©pertoire du San Francisco Ballet Ă©tait Ă©blouissant. Nicolas Blanc avec Sebastian Villarini-Velez et Alston MacGill Est-ce que vous vous sentiez malgrĂ© tout un danseur français ? Oui. Je pense que lorsque lâon vient de France et que lâon arrive aux Ătats Unis, il y a cette libertĂ© dans la danse et cette libertĂ© sur scĂšne qui sont typiquement amĂ©ricaines. Mais je crois que ce qui peut attirer les chorĂ©graphes ici et les directeurs de troupe quand ils engagent des artistes français, câest la propretĂ© de la danse et une forme dâĂ©lĂ©gance française. Jâai toujours essayĂ© de garder cela avoir la vivacitĂ© amĂ©ricaine, bouger rapidement et en mĂȘme temps montrer cette Ă©cole française. Quand est venu ce dĂ©sir dâĂȘtre chorĂ©graphe ? Jâai toujours eu cette envie depuis tout petit, mais en Ă©tant Principal au San Francisco Ballet, je nâavais pas vraiment le temps ni lâopportunitĂ© de chorĂ©graphier. Jâai fait deux piĂšces pour lâĂ©cole, mais je ne pouvais pas faire davantage. Ensuite, cette transition comme maĂźtre de ballet, cela mâa beaucoup aidĂ© pour la chorĂ©graphie car je me suis retrouvĂ© en face des danseurs et des danseuses cela permet de dĂ©velopper sa propre science des placements sur scĂšne, comment diriger les interprĂštes, quel vocabulaire utiliser, comment les modeler. Cette fonction de maĂźtre de ballet, qui est trĂšs diffĂ©rente, mâa beaucoup aidĂ© pour apprendre Ă transmettre mes idĂ©es aux danseurs. Quels sont les chorĂ©graphes qui vous ont influencĂ© ou qui ont Ă©tĂ© importants pour vous ? Mister B Ă©videmment ! Jâai tellement dansĂ© George Balanchine... Et puis William Forsythe. Christopher Wheeldon est aussi un nom qui me vient spontanĂ©ment. Ce que jâaime chez lui, câest lâesthĂ©tique et la façon dont il crĂ©e toujours une atmosphĂšre, mĂȘme dans une piĂšce abstraite. Mats Ek est aussi dans mon panthĂ©on bien que je sois de facture plus classique. Mais jâai eu la chance de travailler avec Ana Laguna pour Carmen. J'aime bien cet Ă©quilibre entre le contemporain et le classique. Je me rĂ©jouis par exemple que Thierry Malandain, Kader Belarbi et Charles Jude aient initiĂ© ce concours des jeunes chorĂ©graphes nĂ©o-classiques en France. Personnellement, jâaime ces deux pĂŽles le classique ou nĂ©o-classique et la danse contemporaine et ce concours va peut-ĂȘtre permettre de crĂ©er une balance. Mothership de Nicolas Blanc est Ă voir au New York City Ballet jusqu'au 21 mai au David H. Koch Theater Lincoln Center New York.
Elle Ă©tait lâarchĂ©type de la Française, telle que la concevaient naguĂšre les romanciers ou les auteurs de théùtre belle, Ă©lĂ©gante, bonne, cultivĂ©e, spirituelle, pĂ©tillante, dâune bienveillance Ă toute Ă©preuve. Elle a Ă©tĂ© encore lâune des plus grandes ballerines de son Ă©poque, celle dont rĂȘvaient les chorĂ©graphes les plus exigeants. Quoiquâelle fĂ»t nĂ©e en Bretagne, Ă Pont LâAbbĂ©, le 1er dĂ©cembre 1933, puis formĂ©e Ă Paris par de grands artistes, Carlotta Zambelli, Victor Gsovsky ou Madame Roussane, Ă lâinstar dâYvette ChauvirĂ©, de Jean BabilĂ©e, de Françoise Adret ou de Maurice BĂ©jart, câest Balanchine surtout qui bĂ©nĂ©ficia de son talent. Elle fut danseuse Ă©toile "principal" pour les AmĂ©ricains au New York City Ballet oĂč elle dansa de 1958 Ă 1976, aprĂšs une unique saison dĂ©jĂ passĂ©e Ă Manhattan au sein de lâAmerican Ballet. Et de toutes les virtuoses quâeut Balanchine pour le servir, Violette Verdy fut sans doute la plus brillante, la plus piquante, celle du moins dont le souvenir demeure le plus suite aprĂšs la publicitĂ© Etoile au New York City Ballet Pourquoi le sort voulut-il que cette danseuse si française de tempĂ©rament, cette femme au charme et Ă la gentillesse indicibles qui firent quâelle Ă©tait aimĂ©e de tout le monde de part et dâautre de lâAtlantique, pourquoi le sort voulut-il quâelle fit lâessentiel de sa carriĂšre aux Etats-Unis ? Sans doute apportait-elle au Nouveau Monde un raffinement, une Ă©lĂ©gance native, un chic français dont les AmĂ©ricains allaient ĂȘtre friands. Et surtout une virtuositĂ©, une intelligence du mouvement, un lyrisme maĂźtrisĂ©, une grande musicalitĂ© qui ne pouvaient que sĂ©duire George Balanchine et Jerome Robbins. Pour Violette Verdy, le premier crĂ©a "TchaĂŻkovsky Pas de deux" ou "Liebeslieder Walzer" en 1960, le rĂŽle de lâEmeraude dans "Joyaux" en 1967, le ballet "La Source" en 1968 ou "Sonatine" en 1975. Et elle interprĂ©ta tout son rĂ©pertoire. Quant Ă Robbins, il chorĂ©graphia pour elle trois de ses Ćuvres emblĂ©matiques, "Dances at a Gathering" en 1969, "In the Night" en 1970, "A Beethoven Pas de Deux" en 1973. DĂšs lors, dans le monde du ballet, et notamment en Europe oĂč on lâappellera dans bien des grandes compagnies pour y enseigner, elle deviendra la plus Ă©clairĂ©e des reprĂ©sentantes du style et de lâesprit de Balanchine et de RobbinsLa suite aprĂšs la publicitĂ© DĂ©buts en France Mais câest bien entendu en France que dĂ©bute Violette Verdy. A 12 ans seulement, en 1945, avec les Ballets des Champs-ElysĂ©es, troupe patronnĂ©e par Jean Cocteau, Boris Kochno et Christian BĂ©rard et dont les chorĂ©graphes sont Roland Petit et Janine Charrat. Plus tard, elle crĂ©e le rĂŽle de la Jeune Fille dans "Le Loup" de Roland Petit aux cĂŽtĂ©s du chorĂ©graphe qui figurait le Loup et de Claire Sombert en BohĂ©mienne. CâĂ©tait le 17 mars 1953 elle a alors 20 ans, au Théùtre de lâEmpire. Le livret avait Ă©tĂ© Ă©crit par Jean Anouilh et Georges Neveux, la musique composĂ©e par Henri Dutilleux, les dĂ©cors et les costumes imaginĂ©s par Jean Carzou. Comment rĂȘver Ă lâĂ©poque de plus brillants dĂ©buts ? Cependant, dĂšs les annĂ©es 1954 et 1955, Violette Verdy est alors passĂ©e Ă Londres. Elle est y soliste au London Festival Ballet et lâon pourra dĂ©duire de ses confidences, bien plus tard elle qui jamais ne sera capable de dire du mal de qui que ce soit ou dâĂȘtre le moins du monde nĂ©gative, quâelle sĂ©loigna de la France pour ne pas avoir Ă souffrir des intrigues du monde du ballet. Sous le mandat de Rolf Liebermann, aprĂšs quâelle a quittĂ© le New York City Ballet et toute aurĂ©olĂ©e de sa gloire amĂ©ricaine, comme Benjamin Millepied, prĂšs de quarante ans plus tard, elle reviendra en France, appelĂ©e Ă la tĂȘte du Ballet de lâOpĂ©ra de Paris. Elle sera, de 1977 Ă 1980, la premiĂšre femme Ă le diriger. Et fera preuve, au contraire de beaucoup, de bienveillance et d'admiration pour le travail de Carolyn Carlson, alors nommĂ©e Ă©toile-chorĂ©graphe au sein de la mĂȘme maison. Mais comment cette crĂ©ature si rayonnante, si bienveillante, si attentive Ă ne blesser personne, malade mĂȘme Ă lâidĂ©e de dĂ©sobliger qui que ce soit, pouvait-elle gouverner une troupe lĂ oĂč des dragons ont tant de peine Ă la diriger ? Trente ans plus tard, Violette Verdy nâen revenait pas dâavoir osĂ© une telle expĂ©rience. Elle la poursuivra cependant, mais dans une version plus douce, en co-dirigeant le Ballet de Boston de 1980 Ă 1983. Une merveilleuse pĂ©dagogue La brillante danseuse-Ă©toile quâelle a Ă©tĂ© trouve un nouvel Ă©panouissement dans la spiritualitĂ© orientale, en Inde, oĂč elle aura longtemps un gourou ». Mais aussi en devenant lâune des plus brillantes, des plus attachantes pĂ©dagogues jamais vues dans le monde de la danse classique. DĂšs 1984, elle est professeur au New York City Ballet, lĂ oĂč elle avait scintillĂ© durant deux dĂ©cennies. A lâĂ©cole de lâAmerican Ballet Ă©galement. Puis, depuis 1996, elle entre dans cet arĂ©opage dâartistes cĂ©lĂšbres Janos Starker, Caroll Vaness, Iannis Xenakis, Wolfgang Brendel⊠qui viennent enseigner Ă lâUniversitĂ© de lâIndiana, Ă Bloomington. Dans ce centre prestigieux, si loin pourtant de cette France Ă laquelle elle demeure infiniment attachĂ©e et oĂč vivent ses parentes et bien des amis de toujours, elle mĂšne ses activitĂ©s pĂ©dagogiques au sein dâun univers extrĂȘmement prĂ©servĂ© alors quâelle considĂšre avec effroi combien dans son pays natal bien des choses se dĂ©gradent. Elle a sa demeure Ă lâuniversitĂ©, elle y jouit dâune considĂ©ration gĂ©nĂ©rale, une considĂ©ration qui lâamĂšne de surcroĂźt Ă se dĂ©placer beaucoup, aux Etats-Unis et en France notamment oĂč elle donne des cours magistraux aux danseurs de lâOpĂ©ra de Paris. Les derniers dataient de 2014. Câest Ă Bloomington que Violette Verdy vient de sâĂ©teindre, ce lundi 8 fĂ©vrier 2016. Le vendredi prĂ©cĂ©dent, elle qui continuait Ă se dĂ©penser constamment, avait Ă©tĂ© frappĂ©e par un accident vasculaire cĂ©rĂ©bral et hospitalisĂ©e d' suite aprĂšs la publicitĂ© Violette and Mr B. Câest un merveilleux documentaire du cinĂ©aste Dominique Delouche, "Violette et Mr B." 2001, qui rĂ©vĂšle au grand public cet Ă©tonnant professeur quâest Violette Verdy. Ses cours dâinterprĂ©tation sont des poĂšmes. Elle enseigne avec une intelligence, une bonne humeur, un humour extraordinaires, osant, dans une langue infiniment chĂątiĂ©e et imagĂ©e, des comparaisons littĂ©raires, artistiques ou musicales inattendues afin de mieux faire comprendre lâintention premiĂšre dâun mouvement, la qualitĂ© dâune attitude, la nature dâun enchaĂźnement de pas, le travail dâacteur encore auquel se doit tout bon danseur. Nâayant jamais un mot blessant quand il y a faute, mais cherchant tout au contraire Ă faire rebondir son Ă©lĂšve en exploitant au mieux ses qualitĂ©s propres. Elle qui confessait ĂȘtre incapable de se mettre en colĂšre sans que cela la fasse pleurer sây rĂ©vĂšle telle quâen elle-mĂȘme. Infiniment attachante, attentive aux autres, tentant de faire passer un message en fonction de la personnalitĂ© de ses disciples, pleine dâesprit, inĂ©puisablement inventive et toujours incomparablement bienveillante. Faut-il ajouter que la lumineuse Violette Verdy Ă©tait universellement aimĂ©e et que personne autant quâelle nâaura joui dâune considĂ©ration et dâune affection universelles ? RaphaĂ«l de Gubernatis
PrivĂ©s de reprĂ©sentations pendant plus dâun an, les danseuses et danseurs du prestigieux New York City Ballet cĂ©lĂšbrent leur art et un progressif retour au théùtre Ă lâoccasion dâun gala virtuel filmĂ© par la cinĂ©aste amĂ©ricaine. Un rassĂ©rĂ©nant pas de deux, Ă admirer sur YouTube jusquâau 20 mai. RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 13 mai 2021 Ă 13h10 Lecture 5 min. Erin Baiano via The New York Times Sofia Coppola ne vient pas du monde de la danse. Est-ce important ? Ses films ont toujours eu une discrĂšte Ă©lĂ©gance chorĂ©graphique â un rythme onirique dans lequel une pause peut Ă©voquer une note de musique, et un geste du quotidien, une sensation. Elle est attentive aux entre-deux. MĂȘme si ses films ne portent pas sur la danse, câest pourtant prĂ©cisĂ©ment ce quâils font ils dansent. Son dernier film, pour le gala de printemps virtuel du New York City Ballet, rĂ©insuffle un peu de vie au cĆur du David H. Koch Theater [au sein du Lincoln Center de Manhattan] ; ses coursives Ă©troites, ses studios irradiĂ©s de lumiĂšre, ses coulisses plongĂ©es dans la pĂ©nombre, ses rangĂ©es de siĂšges vides tapissĂ©s de velours et, enfin, son vaste paysage scĂ©nique. Chaque sĂ©quence est une histoire sans paroles. La camĂ©ra qui sâarrĂȘte longuement sur lâembrasure dâune porte, montrant des sacs de pointes attendant la reprise ? Sofia Coppola donne Ă voir la vĂ©ritĂ© dâun espace sans verser dans le sentimental. Un rĂ©veil du ballet Lâessentiel du film de vingt-quatre minutes, tournĂ© par le directeur de la photographie Philippe Le Sourd, est en noir et blanc. Quand il passe Ă la couleur pour la danse finale â celle du magnifique Divertimento n° 15 de George Balanchine [chorĂ©graphe fondateur du New York City Ballet] â, câest comme si le royaume de La Belle au bois dormant prenait vie aprĂšs cent ans dâun profond sommeil. La pandĂ©mie a mis un coup dâarrĂȘt au spectacle vivant en mars 2020 et, pour les danseurs, ce furent autant de reprĂ©sentations annulĂ©es, une perte irremplaçable. Le film de Sofia Coppola, conçu avec le conseiller artistique et chorĂ©graphe en rĂ©sidence de la compagnie, Justin Peck, signe le retour Ă la vie du New York City Ballet le film sera disponible sur le site de la compagnie et sur YouTube jusquâau 20 mai. Le dĂ©but du film est dâune simplicitĂ© de bon aloi, avec un p La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s... AccĂ©dez Ă tous les contenus abonnĂ©s Soutenez une rĂ©daction indĂ©pendante Recevez le RĂ©veil Courrier chaque matin Source de lâarticle The New York Times New YorkAvec 1 600 journalistes, 35 bureaux Ă lâĂ©tranger, 130 prix Pulitzer et quelque 5 millions dâabonnĂ©s au total, The New York Times est de loin le premier quotidien du pays, dans lequel on peut lire âall the news thatâs fit to printâ âtoute lâinformation digne dâĂȘtre publiĂ©eâ. Câest le journal de rĂ©fĂ©rence des Ătats-Unis, dans la mesure oĂč les tĂ©lĂ©visions ne considĂšrent quâun sujet mĂ©rite une couverture nationale que si The New York Times lâa traitĂ©. Son Ă©dition dominicale 1,1 million dâexemplaires est distribuĂ©e dans lâensemble du pays â on y trouve notamment The New York Times Book Review, un supplĂ©ment livres qui fait autoritĂ©, et lâinĂ©galĂ© New York Times Magazine. La famille Ochs-Sulzberger, qui, en 1896, a pris le contrĂŽle de ce journal créé en 1851, est toujours Ă la tĂȘte du quotidien de centre gauche. Quant Ă lâĂ©dition web, qui revendique plus de 3,7 millions dâabonnĂ©s en octobre 2019, elle propose tout ce que lâon peut attendre dâun service en ligne, avec en plus des dizaines de rubriques spĂ©cifiques. Les archives regroupent des articles parus depuis 1851, consultables en ligne Ă partir de 1981. Lire la suite Nos services
PubliĂ© le 19/11/2009 Ă 1118 Le danseur et chorĂ©graphe français Benjamin Millepied est devenu en peu de temps l'une des vedettes internationales du ballet classique. Ătoile du New York City Ballet, il a dĂ©jĂ chorĂ©graphiĂ© deux piĂšces pour le Ballet de l'OpĂ©ra de Paris. Le spectacle qu'il prĂ©sente Ă Odyssud les 24 et 25 novembre rĂ©unit groupe de danseurs solistes de l'American Ballet Théùtre dans un programme virtuose le Duo Concertant » de Balanchine, oĂč la musique de Stravinski ne fait qu'un avec les pas et les gestes, le brillant Steptext » de Forsythe, qui voit s'affronter quatre danseurs et brise les codes du ballet classique, et, Without », crĂ©ation de Benjamin Millepied en hommage Ă JĂ©rĂŽme Robbins. Cette derniĂšre piĂšce est traversĂ©e de superbes pas de deux. D'une maĂźtrise technique de haut vol, l'ensemble du spectacle offre une belle synthĂšse entre ballet classique et langages contemporains. Odyssud Ă Blagnac les 24 et 25 novembre Ă 21 heures TĂ©l. 05 61 71 75 15. Infos Pratiques Date 24 nov. au 25 nov.
étoile française du new york city ballet